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  • La géographie dans "Rovolution"

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    Dans le roman, la capitale planétaire est Melbourne, et l'Australie a gardé son nom d'origine. Sans doute parce que Jesse Mac Gregor, le fondateur de la RIC (Robotic Innnovation Company), était originaire de ce pays.

    Pour les autres pays, il ne sont  devenus que des zones géographiques. Ainsi, par exemple,  la France est-t-elle qualifiée de zone hexagonale, avec comme capitale Smileville, la ville du sourire, alias Paris. Le Japon a lui, gardé son nom tout comme l'Australie, ainsi que sa capitale Tokyo. Il faut dire que c'est le lieu du comité d'éthique de la firme, une éthique avant tout économique et financière.

    Le monde de "Rovolution", c'est la mondialisation poussée à l'extrême, les nations sont annihilées, et les citoyens voués au même sort. Prémonitoire ? À vous de juger... Le roman vous conduit dans les méandres de l'unification et de l'impersonnel en tout genre.

  • Processus R

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    C'est le titre du premier tome de la saga "Rovolution". Le R peut donc signifier "Rovolution", faux frère de "Révolution", qui se compose  de deux termes : robot et évolution. Dans un univers où l'androïde domine, quelle peut donc être cette évolution ? Positive ou négative ? C'est tout le centre du roman.

    Mais le R peut signifier également "Robotisation Radicale". Dans le roman, les actionnaires extrémistes de la RIC veulent encore réaliser des économies substantielles. Les androïdes deviennent de plus en plus coûteux, notamment pour ce qui est de leur fonctionnement. Alors, on fait appel au docteur Sanders et à son concept de "Radicalisation Radicale", qui va consister à agir sur le cerveau humain, afin d'annihiler certaines fonctions : la réflexion, la propension à rêver, et même l'appétit, afin de produire des êtres dociles et rentables. C'est l'avènement de l'homme-robot,  de l'homme-machine.

    La monstruosité à l'état pur, et la science au service le plus absolu du système productiviste, de la machine économique, de la sphère de la finance.

  • La RIC

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    RIC, acronyme de Robotic Innovation Company, le mastodonte mondialiste, l'organisme qui, depuis Melbourne, la capitale planétaire, veille sur la bonne santé de la finance mondialisée. Une sorte d'Union Financière Européenne de Bruxelles telle que nous la connaissons, mais dont l'influence s'étend à la planète entière, ou encore une sorte d'URSS telle que certains l'ont connue, mais à visées ultra libérales et capitalistes. La RIC, née à partir du FMI, l'organisme totalitaire qui, actuellement, fait la pluie et le beau temps en matière économique et ce, bien sûr, au détriment des peuples, ainsi que de la passion d'un féru de robotique, la RIC a imposé un système où les gouvernements sont remplacés par des actionnaires qui n'ont qu'un seul souci, la  prospérité et le développement de la firme.

    Oui, dans l'univers de la "Rovolution", l'argent roi prédomine, au point de vouloir transformer certains humains en robots, le coût de l'opération ayant été jugé plus rentable que d'utiliser uniquement des androïdes.

    C'est la RIC qui, du haut de la finance absolue, régente le devenir des citoyens de la planète en rendant obligatoire l'euthanasie pour ceux qui tirent trop sur l'assurance maladie, ou en transformant des Workers, entendons par là des   Travailleurs, en Koilleutes, (chômeurs), pour qu'ils n'aient pas droit à une pension et  faire ainsi réaliser des économies aux caisses de retraite.

    Mais comme pour le STH, vu précédemment, il existe quand même au sein de la RIC deux tendances. Les purs et durs de la finance qui ne veulent rien changer au système basé sur le pouvoir de l'argent, et les modérés, partisans d'une démocratisation de ce système.

    À suivre dans le roman...

  • Le STH

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    STH pour Syndicat des Travailleurs Humains. Dans un contexte où les humains sont remplacés par des androïdes, son appellation prend tout son sens.

    Mais même dans une situation extrême, on retrouve les  tendances ou différences propres à nos syndicats actuels. Ainsi au sein du STH existe une tendance qui, de révolutionnaire, deviendra en quelque sorte réformatrice, et une autre qui elle, demeurera dans l'usage de la force. Sans doute la première tendance envisage-t-elle déjà un compromis qu'elle entérinera d'ailleurs par la suite, tandis que la seconde est prête à tout, ce  qui amènera sa disparition dans la violence.

    Mais l'épopée du STH   réformateur aboutira à  la création du SDH (Syndicat de la Dignité Humaine). Dans un contexte où l'androïde ne peut, au mieux, apparaître comme douteux, et au pire demeurer l'ennemi héréditaire, modération et compromission ne risquent pas de demeurer longtemps de mise. Mais cela sera évoqué dans le second tome, tandis que dans le premier vous assisterez à la scission et à la transformation du STH, compte tenu des évènements, par ailleurs dramatiques, qui auront lieu.

  • Un petit poin d'étape

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    Bon, demain on recommencera à décortiquer le tome 1 du roman et tous les sujets qui s'y rapportent, mais comme cela fait pratiquement une semaine qu'il est publié, un petit point s'impose.

    À ce jour, il y a celles et ceux qui sont entrés dans l'ère de la Rovolution en ayant téléchargé l'e-book, et il y a celles et ceux qui n'y sont pas encore entrés.

    Rien n'est perdu, il sera toujours temps, mais pourquoi attendre ? Vous trouverez tout ce qu'il vous faut pour sauter le pas, dans la colonne de droit : achat du roman sur le site de l'éditeur, achat ailleurs... N'hésitez pas, découvrez le monde des androïdes, bon voyage dans le futur immédiat...